Affichage : 11 - 15 sur 15 RÉSULTATS

Le regard des autres et l’image de soi que nous aimerions y voir..

J’ai expérimenté au fil des ans qu’il n’y a pas d’avancée sans essai, glorieux ou pas, pas de connaissance sans apprentissage serein ou difficile. Cela permet de grandir, de se connaître mieux, de vouloir changer et s’améliorer pour finalement ne plus revivre la même chose ou du moins d’être en capacité de réagir différemment.

Le regard des autres recèle tellement d’importance, à tout âge, et pourtant, il n’est que le regard des autres.

Il est emprunt de gentillesse, de compassion, d’amour parfois, de moquerie ou de méchanceté, mais il est aussi finalement emprunt de leurs propres erreurs, blessures ou réussites, rencontrées au long de leur propre chemin de vie.

Nous donnons l’importance que nous voulons au regard des autres. Nous pouvons décider de cela.

On se figure ce qu’on va trouver dans le regard de l’autre selon le regard que nous portons sur nous.

Relativisons et revoyons nos perceptions.

Il y a quelques années, à chaque fois que des situations me tendaient, me stressaient, je les ai passées par le tamis du « grave pas grave ». J’ai saoulé mon entourage avec des « c’est pas grave », car j’avais besoin de formuler à haute voix cet état de fait pour changer mes perceptions et mettre en place un nouveau regard sur moi et ce qui m’entourait. Cela m’a donné du recul.

J’étais jusque là était assez sévère vis à vis de mes réalisations et surtout évidemment de mes échecs.

Je suis devenue bien plus bienveillante avec moi même. Et cette bienveillance a rejailli en quelque sorte sur mes échanges avec le monde extérieur.

Et ça fait du bien !

Je n’ai pas l’esprit de compétition, c’est grave, non?

Trouver la source de sa motivation

Il est terriblement difficile de lire l’incompréhension voire la honte dans les yeux des gens que nous aimons parce qu’on ne se plie pas à ce qu’on attend de nous. Cela nous affecte, peut générer une baisse de notre estime de soi.

De toujours, la compétition, la nécessité de montrer de quoi j’étais capable, de réussir des tests, me bloquait, me stressait. L’auto sabotage était quelque fois ma porte de sortie, exacerbant d’autant plus les sentiments de ne pas être à la hauteur..

En grandissant et en regardant cela de plus près, j’ai compris que ce qui me motive c’est le partage, la collaboration, l’apprentissage, le jeu. Quelque part, le seul moment où j’aimais la compétition était quand je jouais au tennis en double, je collaborais.

Jouer ensemble en utilisant nos points forts respectifs pour se faire plaisir et améliorer l’impact de l’équipe, j’y trouvais mon carburant, un équilibre que je ne connaissais pas en simple. La compétition était une simple circonstance.

J’ai aussi réalisé que le sport est pour moi une manière d’être en forme, en bonne santé. Il m’a fallu le yoga pour constater que malgré ce que ces expériences désastreuses m’avaient amenée à croire, je n’étais pas nulle en sport, mais juste en décalage par rapport à mes besoins. Le yoga m’a permis de m’écouter, de comprendre ce dont j’avais besoin.

J’aime faire ce que je peux faire de mieux pour moi ou mon équipe, et non faire mieux que l’autre. Un de mes objectifs est l’amélioration de soi continue pour le bien être global.

Comment travailler ensemble?

Me trouver en face d’un ultra compétitif ou devoir travailler de concert avec lui est également un challenge pour moi. Nos codes sont aux antipodes et il nous faut trouver un terrain d’entente mutuelle et jouer de nos différences pour en faire une force.

Aujourd’hui je peux mettre des mots sur ma façon d’appréhender la compétition, expliquer ce qui est moteur pour moi et m’affirmer. Je sais quelle partition je ne veux pas jouer et qu’il m’est possible de m’intégrer dans un univers compétitif en gardant mon intégrité et ma motivation propre.

Comprendre et trouver les leviers de motivation va nous aider à garder une estime de soi forte, à grandir en connaissant sa manière d’exprimer son potentiel, seul ou en groupe.

Quand on se sent démuni, chercher un éclairage extérieur est un acte généreux, un acte de foi dans ses capacités, ses aptitudes ; c’est permettre de reconnaitre ses spécificités, celles qui font de nous le magnifique adulte en devenir.

Votre personnalité, un atout sur lequel vous pouvez monétiser.

Trouver le bon collaborateur et l’intégrer dans une équipe relève presque de l’exploit, c’est de la cuisine de haut niveau. La richesse d’un groupe vient souvent de sa diversité, de sa capacité à mêler les expertises, les savoir-être et savoir-faire.

Comment trouver la bonne personne si le profil qu’elle présente diffère de ce qu’elle est?

Pourquoi avons nous cette croyance qu’être nous même et oser montrer notre personnalité, nos atouts et nos faiblesses, va être moins impactant que de renvoyer une image qui colle au moule?

Trouver la bonne entreprise, le poste qui vous permettra de donner votre maximum, de vous épanouir, de vous développer, c’est aussi pour vous la meilleure manière de trouver un équilibre. Etre bien dans son travail a des répercussions positives sur la vie personnelle. Etre soi au travail, ne pas devoir faire des efforts pour coller à une image, c’est s’offrir de la sérénité, c’est libérateur.

Alors comment faire?

Ma liberté, mon choix.

Faire le choix d’être en accord avec ses valeurs, c’est parfois faire une croix sur certaines opportunités. Selon le point de vue que l’on prend, on limite les possibilités, ou, et c’est cette vision que je choisis d’avoir, on s’offre une myriade de possibles.

Se limiter à la croyance que nous n’avons pas le choix est semblable à un très gros et lourd rideau de flanelle très rugueuse derrière laquelle on se cache. C’est l’image qui me vient et qui a conduit au collage illustrant ces mots en Wrac’h…

Si je suis incapable d’envisager et de croire que j’ai le choix, le choix n’existe pas.

La toute première étape est de mentaliser que le choix existe, que je peux changer ma croyance. On a le choix, le choix de penser différemment, de chercher un changement positif pour soi, de se faire aider à y arriver.

C’est un engagement envers soi, de trouver la force, l’envie, le temps de commencer à travailler sur un changement et de tirer le fil, avec constance et persévérance. Il est vrai que c’est moins confortable que de laisser faire et suivre le rythme sans se poser de questions.

Mais combien de temps pouvons nous supporter de marcher à côté de nos pompes?

Je mets le focus sur mon intention positive, efficace

Parlons d’intention et de gratitude.

En amont des séances de Reiki, je demande à la personne qui va recevoir cette belle énergie de penser à une intention, à une intention positive.

Cette intention sera au centre de ses pensées, de sa méditation ou de son souffle pendant la séance. Cette intention peut être partagée avec moi avant la séance ou rester personnelle.

Elle est aussi à la base du processus de coaching, au démarrage du processus de Feng shui.

Pourquoi une intention positive ? Qu’est ce que c’est ?

L’intention positive est une projection. Vous vous visualisez : je suis ce que je veux être, et j’ai ce dont j’ai besoin.

Voyons tout d’abord sa formulation : elle débute par le pronom JE, contient un verbe et un complément accompagné d’un adjectif positif.

Parcourons quelques exemples qui illustrent le choix des mots et de sa structure:

Je cherche du travail devient : J’ai un travail qui me convient parfaitement

Je manque d’argent devient : Je reçois tout ce dont j’ai besoin

Je suis célibataire et pas heureuse de l’être devient : Je vis une belle histoire d’amour avec celui / celle qui me convient le mieux

J’ai peur se reformule : Je suis serein(e) et confiant(e) ici et maintenant

etc..

L’intention est bien une projection. Car plus vous vous visualisez dans cette situation plus elle prend du sens, du corps, et plus son énergie positive grandit.

L’intention vous responsabilise.

Vous vous regardez en face et décidez de ne pas vous mentir.

Personne d’autre que vous n’est au centre de votre intention. Le pronom JE est utilisé.

Je suis moteur et je me pose les bonnes questions.

Reprenons l’exemple suivant : J’ai un travail qui me convient parfaitement

Est-ce que je sais vraiment quel travail me convient le mieux ? Comment je l’obtiens, qui ou quoi peut m’aider, comment je m’améliore, qu’est ce qui me manque?

Mais aussi, quel sabotage je mets en place pour ne pas me remettre en question, suis-je tellement négative que mon énergie l’est aussi et transparait dans mon comportement ?

Lorsque je me pose ce genre de questions, je sors du rôle de victime, les autres ne sont pas en cause, JE suis la clef de ma réussite.

Dès lors où je me mets dans une position où je connais mes compétences et mes manques, je suis en capacité, j’ai connaissance de ce que je veux… 

Je me connais. je sais de quoi j’ai besoin. je reconnais ce que j’ai déjà. Je reçois tout ce dont j’ai besoin

Cette intention est saine, elle n’est pas basée sur une intention négative, telle que l’envie de posséder ce qu’a le voisin ou l’impression que c’est pas juste..

Non, elle est basée sur ce dont vous avez besoin, elle parle d’équilibre énergétique, le juste équilibre qui rend heureux.

Ce dont j’ai besoin. Plus n’est pas nécessaire, moins créé le déséquilibre.

Je regarde mes peurs en face, je trouve le soutien dont j’ai besoin pour le faire, en moi ou avec un thérapeute.

Je suis sereine et confiante ici et maintenant.

Je prends le temps dont j’ai besoin pour mettre en place des changements, je suis bienveillant, attentionné avec moi-même.

On ne va pas se leurrer, c’est une démarche courageuse que de porter la focale sur ses points de faiblesse, de les regarder en face, les reconnaitre et mettre en place le changement qui va nous faire grandir. Etre bien accompagné dans la démarche est important et apporte un prisme différent.

Pourquoi la gratitude me fait grandir?

Et bien l’énergie de l’intention est magnifiée par le sentiment de gratitude. Je remercie pour ce que j’ai, j’accomplis. Le cœur parle et vous pouvez observer les progrès, les changements.

Certaines journées sont plus éprouvantes que d’autres. Prendre un temps pour remercier pour les petits moments agréables permet de se refocaliser sur le positif et d’augmenter en soi l’énergie de l’intention positive.

Toute journée, quelle qu’elle soit, peut s’avérée digne de recevoir de la gratitude. Il suffit d’observer et de ressentir.

Un sourire qui vous a fait du bien, la vue du soleil se lever ce matin, un mot lu sur une publicité qui vous a fait rire..

Trouvez un espace temps pendant lequel vous remerciez tous les jours. Un rituel bien à vous.

Je l’ai fait pendant des années dans ma voiture en allant au travail. « Je remercie pour… ». Je continue aujourd’hui.

D’autres trouvent le moment propice au réveil ou avant de dormir. Créez votre rituel, exprimez la gratitude à voie haute ou mentalement, écrivez là sur votre carnet, que vous ayez 2 minutes ou un quart d’heure à lui consacrer, à vous consacrer.

Une dernière chose, l’intention est bénéfique pour vous, bénéfique pour tous, elle n’enlève rien a quelqu’un d’autre, elle n’a pas d’impact négatif sur qui que ce soit.

L’intention positive et la gratitude vous mettent dans une position de créateur de votre vie. Vous reprenez la main et vous réalisez que VOUS avez la capacité de changer pour votre bien.

A votre rythme, pas à pas, vous réfléchissez et posez l’intention positive et vous commencez à mettre en œuvre le changement bénéfique dans votre vie.

Energies en Wrac’h vous accompagne lors de ce cheminement. Contactez moi.

Dites moi plus sur le coaching et le reiki combinés

Qu’apporte le Reiki combiné au coaching?

Se faire coacher est un engagement envers soi.

Le résultat dépend beaucoup du temps qu’on se donne, de la force de sa propre réflexion et des mises en oeuvre des plans d’action.

Le coaché est au centre de son coaching et le processus demande de l’envie, de la persévérance et de l’énergie.

Parfois cette énergie fait défaut ; on n’a pas le courage de commencer. On se trouve mille excuses pour reporter : c’est trop loin, je n’ai pas le temps, je ne sais pas si vraiment je veux, peut-être plus tard…

Ce sont dans ces cas que le Reiki peut être utilisé afin de rebooster les batteries. Il aide à gérer le stress ou libérer certains blocages.

Il permet de se donner les moyens et d’être dans les meilleures conditions pour démarrer l’introspection et les actions que le coaching amène.

Combien me faut- il de séances de Coaching?

Vous voulez changer de vie, de poste, de métier, et commencez à y penser?

Chaque problématique est différente et le coaching s’adapte à vos besoins.

Si certains objectifs sont atteints en une ou deux séances, travailler sur soi demande souvent plus de temps.

Le coaching peut également être un bon déclencheur pour une mise en route de projet et avoir des répercussions bien plus tard.

[instagram-feed]