Trouver le bon collaborateur et l’intégrer dans une équipe relève presque de l’exploit, c’est de la cuisine de haut niveau. La richesse d’un groupe vient souvent de sa diversité, de sa capacité à mêler les expertises, les savoir-être et savoir-faire.

Comment trouver la bonne personne si le profil qu’elle présente diffère de ce qu’elle est?

Pourquoi avons nous cette croyance qu’être nous même et oser montrer notre personnalité, nos atouts et nos faiblesses, va être moins impactant que de renvoyer une image qui colle au moule?

Trouver la bonne entreprise, le poste qui vous permettra de donner votre maximum, de vous épanouir, de vous développer, c’est aussi pour vous la meilleure manière de trouver un équilibre. Etre bien dans son travail a des répercussions positives sur la vie personnelle. Etre soi au travail, ne pas devoir faire des efforts pour coller à une image, c’est s’offrir de la sérénité, c’est libérateur.

Alors comment faire?

Ma liberté, mon choix.

Faire le choix d’être en accord avec ses valeurs, c’est parfois faire une croix sur certaines opportunités. Selon le point de vue que l’on prend, on limite les possibilités, ou, et c’est cette vision que je choisis d’avoir, on s’offre une myriade de possibles.

Se limiter à la croyance que nous n’avons pas le choix est semblable à un très gros et lourd rideau de flanelle très rugueuse derrière laquelle on se cache. C’est l’image qui me vient et qui a conduit au collage illustrant ces mots en Wrac’h…

Si je suis incapable d’envisager et de croire que j’ai le choix, le choix n’existe pas.

La toute première étape est de mentaliser que le choix existe, que je peux changer ma croyance. On a le choix, le choix de penser différemment, de chercher un changement positif pour soi, de se faire aider à y arriver.

C’est un engagement envers soi, de trouver la force, l’envie, le temps de commencer à travailler sur un changement et de tirer le fil, avec constance et persévérance. Il est vrai que c’est moins confortable que de laisser faire et suivre le rythme sans se poser de questions.

Mais combien de temps pouvons nous supporter de marcher à côté de nos pompes?

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